Eberulf versait de l'avoine dans la mangeoire de la jument quand Savarrin arriva. Ces derniers jours, il avait négligé ses fonction et la pauvre Al'Opass se sentait bien seul.
Merci Eberulf, ça ira.
Le paysan sortit, grommelant dans sa barbe comme à son habitude.Savarrin prit le temps de le regarder s'éloigner, et commença à bouchonner affectueusement, mais avec énergie la magnifique monture. Après lui avoir flatté la croupe, il sella et mit le mord aux dents de l'animal. Il le guida par la bride jusqu'à la belle esplanade devant le chateau, la caressa une noucelle fois avant de l'enfourcher et fila vers Périgueux.